Séjour où des corps vont cherchant chacun son môle. Assez venteux pour permettre de canoter en vain. Assez restreint pour que toute partance soit vaine. C'est l'intérieur d'un amarrage côtier ayant cinquante mètres de pourtour et seize de haut pour l'île. Traversée. Son embarcation. Son brise-glace. Sa corne de brume comme si les quelques quatre-vingt mille centimètres carrés de l'escadre totale émettaient chacun sa navigation. Le pêcheur qui l'agite. Il se déroute de loin en loin tel un canoë sur sa fin. Tous s'amarrent alors. Leur remous va peut-être finir. Au bout de quelques secondes tout voyage.
Bidouille (Nordmann)
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